« Une personne en marche sur un chemin qu’elle invente »

Laurence, j’aime le rythme de tes poèmes, si proches des danseurs aperçus à travers les vitres. Le rythme de la forme et des couleurs qui cherchent la profondeur et la trouve souvent. Les fenêtres ouvertes dans les tableaux, qui débouchent sur un moment qui va plus loin que la toile. Toi-même ? Le besoin d’aller plus loin que la forme. J’aime surtout le sentiment que tu donnes d’une personne en marche sur un chemin qu’elle invente, comme les choses : sans idées arrêtées, à tâtons (?), du bout des doigts. (…) Je suis ému par ce que tu fais de ta vie…

Jérôme

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